Afin de vous retranscrire au mieux l’ambiance pendant le Zénith de Nicolas Sarkozy, nous avons décidé de donner la parole au peuple de France et plus particulièrement à un de nos militants qui était présent hier soir. Voici son récit :
Enfin ! Cela faisait plusieurs semaines que j’avais du mal à dormir et que je comptais les jours qui me restaient avant de pouvoir assister au grand show de Nicolas Sarkozy. Certes, même dans une petite salle ou un simple gymnase, Nicolas Sarkozy est un orateur de première classe qui sait captiver son public. Mais étant un inconditionnel et ayant assisté à plusieurs dates de la tournée 2012, j’attendais avec impatience le retour de Nicolas Sarkozy sur une grande scène.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçu ! Qu’est-ce que c’était bien ! Pour tout vous dire, j’ai même prolongé la nuit dans une petite brasserie populaire située au 99 avenue des Champs-Élysées avec plusieurs camarades républicains. On a tellement refait le monde toute la nuit que je me suis réveillé avec une sacrée langue de bois… Étant donné la couleur de mes draps, j’ai également eu quelques rêves humides pendant la nuit, ce qui est légitime après la soirée au Zénith. Pourtant les choses étaient plutôt mal engagées : inscrit depuis des semaines, je n’ai reçu ma place que samedi soir. Et contrairement à 2012, où nous recevions des cartes d’invitations personnalisées avec dorures et papier marbré, j’ai reçu un simple sms.
Enfin ! Cela faisait plusieurs semaines que j’avais du mal à dormir et que je comptais les jours qui me restaient avant de pouvoir assister au grand show de Nicolas Sarkozy. Certes, même dans une petite salle ou un simple gymnase, Nicolas Sarkozy est un orateur de première classe qui sait captiver son public. Mais étant un inconditionnel et ayant assisté à plusieurs dates de la tournée 2012, j’attendais avec impatience le retour de Nicolas Sarkozy sur une grande scène.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçu ! Qu’est-ce que c’était bien ! Pour tout vous dire, j’ai même prolongé la nuit dans une petite brasserie populaire située au 99 avenue des Champs-Élysées avec plusieurs camarades républicains. On a tellement refait le monde toute la nuit que je me suis réveillé avec une sacrée langue de bois… Étant donné la couleur de mes draps, j’ai également eu quelques rêves humides pendant la nuit, ce qui est légitime après la soirée au Zénith. Pourtant les choses étaient plutôt mal engagées : inscrit depuis des semaines, je n’ai reçu ma place que samedi soir. Et contrairement à 2012, où nous recevions des cartes d’invitations personnalisées avec dorures et papier marbré, j’ai reçu un simple sms.
Sur le coup cela m’a fait peur car n’importe qui pouvait potentiellement se présenter là-bas... N’importe quel gauchiste pouvait se rendre sur place et essayer de perturber le spectacle. Mes craintes se sont confirmées quand j’ai aperçu Riss dans la foule. Affolé, je me suis aussitôt rendu au QG de sécurité afin de signaler sa présence. Ils m’ont alors rassuré en m’expliquant que depuis les évènements de Charlie, Riss avait ouvert les yeux et qu’il a désormais conscience que seul Nicolas Sarkozy peut encore nous protéger de ces racailles musulmanes. Comme beaucoup de victimes d’agressions et du racisme anti-blanc, Riss a finalement quitté le clan des bien-pensants pour rejoindre celui de la réalité. Ce qui confirme la règle comme quoi ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers. Riss a d’ailleurs déclaré à un journaliste qui lui demandait s’il voterait Nicolas Sarkozy :
« Je n’hésiterais pas une seconde. »
C’est donc rassuré que je suis retourné à mon siège pour assister au show. J’ai très vite vu que je ne risquais rien avec les gauchistes potentiellement infiltrés (plus exactement des pro-Juppé ou des élites bobos) car j’étais majoritairement entouré de mocassins à gland, de carrés Hermes et de quelques jeunes républicains en tee-shirt 'NouSlesCons'. Il y avait beaucoup de people et j’ai repéré Louis Sarkozy et sa relation Anav. Véronique Sanson et Anne Sinclair (qui est cette fois à la recherche d’un pervers de droite, elle ne fera pas deux fois la même erreur) étaient également présentes pour soutenir le retour de Nicolas Sarkozy. Les 6238 places du Zénith étaient occupées malgré l’absence remarquée de Jean Sarkozy qui, craignant de se faire arrêter par ces bâtards de juges (comme la semaine dernière où il a dû griller un feu rouge afin d'être à l'heure pour la messe), ne s’est pas rendu sur place avec son Audi Q3.
La salle était magnifiquement décorée de bleu, blanc et rouge. Je me sentais tellement bien, en sécurité. J’avais enfin l’impression d’être en France, entouré de l’amour de mes semblables gaulois. Les seuls auvergnats que j’ai croisés étaient du service de sécurité ou de l’entretien (à l’exception de Rachida Dati, comme le dit le proverbe républicain : « quand il y en a un ça va, c’est quand il y en a plusieurs que l’on commence à avoir des problèmes »).
J’ai eu ma première érection de la soirée quand j'ai aperçu Nicolas Sarkozy. D’habitude je ne suis pas ce que l’on appelle un éjaculateur précoce mais j’ai été littéralement submergé par l’émotion. Heureusement que j’avais mon drapeau français pour m’essuyer… il m’a également servi pendant tout le reste du show pour me caresser discrètement le gland. J’ai réussi à éjaculer plus de 6 fois pendant le spectacle ! Le passage qui m’a le plus excité était le ‘featuring’ avec Ingrid Betancourt (Liliane n’est malheureusement plus disponible (même pour ces bâtards de juges, c'est vous dire)). L'ancienne otage des Farc colombiens lui a rendu un vibrant hommage en ouverture de meeting : « Je suis vivante grâce à Nicolas Sarkozy. Voilà un homme qui est digne d'être le président de la France ». Elle a commencé par nous conter son histoire :
« J'étais enchaînée à un arbre au fin fond de la jungle amazonienne. Nous avons entendu la voix de Nicolas Sarkozy, sur une radio rafistolée qui pendait à la branche d'un arbre. J'ai vu la peur se dessiner sur la face de mes geôliers, sous l'effet de la force des paroles d'un jeune président de la République. ».
Elle a terminé son magnifique sketch en apothéose par un parallèle avec notre situation actuelle (La seule réelle différence entre les Farc et les socialo-communistes normaux de droite réside dans le fait que les Farc sont prêts à mourir pour leurs idées, ce que je respecte) :
« Notre jungle, c'est une France sans boussole, sans espoir, en crise d'identité, sans leader »
Je m’imaginais moi aussi seul dans la jungle, assoiffé, violé toute la journée par mes geôliers socialo-communistes normaux de droite. Alors que j’avais perdu tout espoir, j’entendais la voix suave de Nicolas Sarkozy. Puis je distinguais sa silhouette de jockey à travers l’humidité et la chaleur. Le torse nu et les pectoraux huilés, il me tendait la main. Derrière ses ray-bans je sentais ses yeux me dévorer l’entre-jambe. Lentement, il enlevait ses talonnettes quand je me suis soudain réveillé en sursaut suite à une salve d’applaudissements ! Sur l’échelle de la Gaule, j’étais aux alentours de 7. Je n’avais pas bandé comme cela depuis ma première communion…
Nicolas Sarkozy a ensuite repris tous ses grands succès avec le talent d’orateur qui le caractérise. J’en ai pris plein les yeux et ses paroles raisonnent encore en moi ce soir : « Je suis candidat pour parler du quotidien des Français, pas pour être le représentant d'une élite pour qui tout va bien », « J'ai la conviction que la France mérite mieux. Je refuse d'assister, passif, à son recul, à son effacement », « Ce qui est dangereux, c'est de ne pas donner la parole au peuple, c'est de ne pas l'écouter » ou encore « Moi, je fais cette campagne à fond. Vous m'entendez ? A fond. Alors faites comme moi et tout se passera bien ».
Nicolas Sarkozy peut me faire confiance, je suis tellement à fond que je l’ai déjà touché à plusieurs reprises. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour que Nicolas Sarkozy redevienne notre guide suprême. Cela commence dès le 20 novembre prochain et j’invite les français qui ne sont pas résignés et qui veulent une réelle alternance de voter pour Nicolas Sarkozy.
Cette soirée parfaite restera longtemps gravée dans ma mémoire. Tout était parfait, pas une seule fausse note (Carlita était présente mais n’a pas chanté) et j’ai hâte de me rendre aux prochains meetings.




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