C’est triste à dire mais le musulman n’est pas très intelligent… L’actualité récente le démontre encore puisque lors d’un contrôle d’une femme voilée le 25 juillet dernier à Marseille, trois policiers ont été légèrement blessés. Parmi les agents blessés, une fonctionnaire de la BAC arrivée en renfort a été mordue par la femme voilée.
Quand on n’est pas capable de maitriser sa femme, lui mettre un voile est inefficace. Il faut opter pour des solutions plus radicales et lui mettre une muselière, un collier électrique ou encore une bride de mégère. Traditionnellement, les français bâtent leur femme pour éviter d’avoir ce genre de problème. Mais là il est à priori trop tard pour la rééduquer.
Quand on n’est pas capable de maitriser sa femme, lui mettre un voile est inefficace. Il faut opter pour des solutions plus radicales et lui mettre une muselière, un collier électrique ou encore une bride de mégère. Traditionnellement, les français bâtent leur femme pour éviter d’avoir ce genre de problème. Mais là il est à priori trop tard pour la rééduquer.
Le plus triste dans cette histoire c’est que la femme voilée et son compagnon sont ressortis libre sans la moindre poursuite du commissariat. Pourtant la loi est précise sur le sujet :
« Tout fait de morsure d’une personne doit être déclaré par son propriétaire ou détenteur à la mairie de la commune de résidence du propriétaire ou détenteur (loi n° 2008-582 du 20 juin 2008)
La chienne doit être placée sous surveillance vétérinaire, aux frais de son propriétaire ou détenteur. Cette surveillance dure 15 jours pendant lesquels la chienne est présentée trois fois au même vétérinaire sanitaire, afin de vérifier qu’elle n’est pas porteuse de la rage. La première visite 24 heures après la morsure ou la griffure, la deuxième 7 jours plus tard et la dernière le quinzième jour. Durant cette période, la chienne ne peut être euthanasiée sans l’autorisation de la direction départementale de protection de la population.
Durant cette période de surveillance sanitaire, la chienne est soumise à une évaluation comportementale assurée par un vétérinaire inscrit sur la liste départementale des vétérinaires agréés, en application de l’article L. 211-14-1 du Code rural. Le résultat de cette évaluation comportementale est soumis au maire.
Selon le degré de "dangerosité" de la chienne, estimé par le vétérinaire (sur une échelle de 1 à 4), le maire peut demander au propriétaire ou détenteur de la chienne de suivre une formation en vue d’obtenir l’attestation d’aptitude à détenir sa chienne, mentionnée à l’article L. 211-13-1. Dans le cas où la chienne est jugée comme représentant un danger grave et immédiat, le maire peut demander l’euthanasie de la chienne par un vétérinaire agréé. »
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