Rares sont les émissions politiques à attirer les téléspectateurs et plus particulièrement les jeunes. Pourtant M6 a réussi l’exploit de lancer une nouvelle émission politique qui a réuni pour sa première plus de 3 millions de téléspectateurs. Le succès de l’émission s’explique d’abord par la présence de Nicolas Sarkozy qui a été, comme toujours, excellent. Heureusement qu’il était là pour compenser la prestation lamentable de Montebourg (qui a failli plomber l’émission puisque les audiences ont augmenté à partir de la fin de sa séquence).
D’ordinaire Karine Le Marchand s’occupe des agriculteurs et plus particulièrement de leur insémination (conditionnement psychologique des agriculteurs à la reproduction et elle peut éventuellement les assister pendant l'acte). Elle a décidé de reprendre le même concept et de l’appliquer au monde politique, non pas pour les aider à trouver un partenaire sexuel, mais pour trouver des électeurs qui ne s’intéressent plus à la politique.
Les invités sont donc là pour se vendre et susciter le désir en parlant de tout mais surtout pas de politique. Même si certains ont l’habitude de se livrer à un tel exercice, cela permet de découvrir les hommes et femmes politiques sous un nouveau jour et d’occulter le côté superficiel des programmes pour se concentrer sur l’essentiel : l’apparence. Le but est de permettre à des jeunes qui ne s’intéressent plus à la politique de choisir un candidat non pas pour ce qu’il fait ou n’a pas fait, mais pour ce qu’il est dans son intimité.
Peut-importe qu’il soit raciste, xénophobe, populiste, démago, menteur ou voleur : ce qui compte c’est de le présenter dans son intimité. Car on l’oublie un peu trop vite parfois : les hommes politiques sont avant tout des hommes comme les autres. Ils mangent, boivent, vont aux toilettes, copulent comme tout le monde. Certes, ils peuvent parfois se tromper et faire du mal aux français mais ce n’est pas leur volonté initiale : en politique l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Adolf Hitler était par exemple un homme charmant qui aurait eu toute sa place sur le canapé avec Karine Le Marchand. Cette dernière aurait copiné avec lui sans le moindre état d’âme pour aider les jeunes à faire leur choix. On imagine la scène émouvante où Adolf raconterait, la larme à l’œil, ses parties endiablées de « cow-boys et indiens » de son enfance et on aurait rigolé en écoutant sa sœur témoigner : « Quand on jouait aux Indiens Adolf faisait toujours le chef. Tous ses camarades devaient obéir à ses ordres. Ils devaient sentir que sa volonté était la plus forte ». On aurait parlé du conflit avec son père au moment de l’adolescence et du décès prématuré de ce dernier. Adolf aurait ensuite évoqué son amour pour Disney ou son succès avec la gente féminine sous les rires de la belle Karine. Quelle bonne émission cela aurait pu être ! On en vient presque à regretter qu’Adolf Hitler ne soit plus là !
D’ordinaire Karine Le Marchand s’occupe des agriculteurs et plus particulièrement de leur insémination (conditionnement psychologique des agriculteurs à la reproduction et elle peut éventuellement les assister pendant l'acte). Elle a décidé de reprendre le même concept et de l’appliquer au monde politique, non pas pour les aider à trouver un partenaire sexuel, mais pour trouver des électeurs qui ne s’intéressent plus à la politique.
Les invités sont donc là pour se vendre et susciter le désir en parlant de tout mais surtout pas de politique. Même si certains ont l’habitude de se livrer à un tel exercice, cela permet de découvrir les hommes et femmes politiques sous un nouveau jour et d’occulter le côté superficiel des programmes pour se concentrer sur l’essentiel : l’apparence. Le but est de permettre à des jeunes qui ne s’intéressent plus à la politique de choisir un candidat non pas pour ce qu’il fait ou n’a pas fait, mais pour ce qu’il est dans son intimité.
Peut-importe qu’il soit raciste, xénophobe, populiste, démago, menteur ou voleur : ce qui compte c’est de le présenter dans son intimité. Car on l’oublie un peu trop vite parfois : les hommes politiques sont avant tout des hommes comme les autres. Ils mangent, boivent, vont aux toilettes, copulent comme tout le monde. Certes, ils peuvent parfois se tromper et faire du mal aux français mais ce n’est pas leur volonté initiale : en politique l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Adolf Hitler était par exemple un homme charmant qui aurait eu toute sa place sur le canapé avec Karine Le Marchand. Cette dernière aurait copiné avec lui sans le moindre état d’âme pour aider les jeunes à faire leur choix. On imagine la scène émouvante où Adolf raconterait, la larme à l’œil, ses parties endiablées de « cow-boys et indiens » de son enfance et on aurait rigolé en écoutant sa sœur témoigner : « Quand on jouait aux Indiens Adolf faisait toujours le chef. Tous ses camarades devaient obéir à ses ordres. Ils devaient sentir que sa volonté était la plus forte ». On aurait parlé du conflit avec son père au moment de l’adolescence et du décès prématuré de ce dernier. Adolf aurait ensuite évoqué son amour pour Disney ou son succès avec la gente féminine sous les rires de la belle Karine. Quelle bonne émission cela aurait pu être ! On en vient presque à regretter qu’Adolf Hitler ne soit plus là !
Et puis cette émission aide à démontrer l’incohérence des adversaires de Nicolas Sarkozy : Par exemple, en 2011 Marine Le Pen déclarait : « Ce n'est pas parce qu'on aime le foie gras qu'on est obligé de s'intéresser à la vie du canard. Je suis une femme politique, je porte un projet pour mes compatriotes. Je ne vois pas ce que mes enfants ont à voir dans cette affaire. La peopolisation à l'excès de la vie politique me dérange et je n'entends pas y céder ». Encore plus contradictoire, Montebourg a osé affirmer sur le canapé de Karine que « la peopolisation, c'est une manière de faire diversion » quelques minutes avant d'évoquer, larmes aux yeux, la naissance de sa fille prématurée. Lamentable !
Bref, une très bonne émission, vivement le prochain numéro !

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