La semaine dernière Nicolas Sarkozy affirmait en parlant de l’affaire dite Air-Cocaïne : « J'ai eu la semaine dernière mon cinquième non-lieu » avant d’ajouter « J'ai été cinq fois innocenté ». Nicolas Sarkozy, lui-même avocat, sait parfaitement de quoi il parle : pour bénéficier d'un non-lieu au terme d'une enquête judiciaire, il faut avoir été mis en cause, soit via une mise en examen, soit en ayant été placé sous le statut de témoin assisté d'après l'article 177 du code de procédure pénale.
Dans l’affaire sur des voyages effectués par Nicolas Sarkozy et payés par l'homme d'affaire Stéphane Courbit, ces bâtards de juges ont rendu un non-lieu. Certes, dans le cadre de l’instruction ils avaient demandé la géolocalisation du portable de l'ancien président et épluché ses fadettes. Mais jamais Nicolas Sarkozy n’a été mis en cause directement (mise en examen/témoin assisté) dans cette affaire. Ce n’est donc pas un « non-lieu » mais c’est tout comme. Si l’on pousse les vérifications plus loin, Nicolas Sarkozy n’a bénéficié que de deux non-lieu : un premier dans l’affaire Bettencourt (octobre 2013) et un second dans le dossier des pénalités (septembre 2015).
Mais que ce soit « cinq fois » ou « deux fois », cela ne change rien au fait que Nicolas Sarkozy a toujours été innocenté et c’est bien là l’essentiel. Tout le monde ne peut pas en dire autant… nous pensons particulièrement à Alain Juppé qui lui a toujours été reconnu coupable : une mise en examen, une condamnation.
Nicolas Sarkozy n’a rien à cacher et tient toujours un discours de vérité. On peut comprendre que cela agace les bien-pensants et les menteurs professionnels, mais Nicolas Sarkozy est prêt à tout assumer, à commencer par les prochaines révélations de Patrick Buisson.
En effet, il semblerait que dans « La cause du Peuple », Patrick Buisson a compilé ses enregistrements afin de nous conter « l’histoire interdite de la présidence Sarkozy »… tout un programme ! Il explique notamment que lors des manifestations anti-CPE de 2006, Nicolas Sarkozy (à l’époque ministre de l'Intérieur) avait décidé de nuire à De Villepin en provocant le chaos : « Nous avions pris la décision de laisser les bandes de black et de beurs agresser les jeunes Blancs aux Invalides, tout en informant les photographes de Paris Match. L'émotion fut en effet à son comble, après la publication de photos dont l'opinion ne retiendrait qu'une chose: des hordes sauvages étaient entrées dans Paris ».
En quoi Nicolas Sarkozy serait responsable de ces bandes de black ? Laisser faire et donner des ordres sont deux choses bien distinctes. Oui, Nicolas Sarkozy a laissé faire pour montrer le vrai visage de la mobilisation anti-CPE à tous les bien-pensants qui refusent la réalité. Ce n’était pas pour nuire à Dominique de Villepin avec qui il entretient désormais de très bonnes relations puisque ce dernier, en tant qu’avocat, travaille avec beaucoup d’amis qataris de Nicolas Sarkozy.
Accuser Nicolas Sarkozy est un sport national mais quand il faut apporter des preuves, il n’y a plus personne. On se souvient par exemple du faux grossier de Kadhafi qui a finalement été reconnu comme authentique par la justice… Aujourd’hui, les mêmes menteurs de Mediapart essayent de faire croire à l’existence d’un carnet rédigé par un dignitaire libyen qui évoque, dès 2007, un financement occulte de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy…
Mais quand on se renseigne un peu, on apprend que le carnet appartenait à un certain Choukri Ghanem (ancien ministre du Pétrole de Kadhafi… donc quelqu’un de très fiable…). Or ce dernier ne pourra malheureusement pas innocenter Nicolas Sarkozy puisqu’il s’est accidentellement noyé dans le Danube le 29 avril 2012 (comme par hasard…), soit quelques jours avant la défaite de Nicolas Sarkozy et la perte de son immunité judiciaire. La police a conclu à une mort accidentelle, mais « plusieurs proches de la victime n'hésitent pas à évoquer en privé des soupçons persistants de meurtre » en expliquant que Ghoukri n’avait pas pour habitude de nager dans le Danube et encore moins avec plusieurs parpaings accrochés à ses pieds. Franchement, quelle fable ! D’autant plus que les sommes ne représenteraient 6,5 millions d’euros ! Avec si peu d’argent, Nicolas Sarkozy ne pouvait décemment organiser une campagne présidentielle ! En effet, le montant total de la campagne de 2012 est estimé aux alentours de 50 millions d’euros (en comptant les surfacturations et en réintégrant les dépenses de l’UMP). Vous pensez sincèrement que Nicolas Sarkozy prendrait le risque de se faire financer par Kadhafi pour si peu d’argent ? Quand on sait que le seul meeting de la porte de Versailles en 2007 avait couté près de 3,6 millions, il est évident que Nicolas Sarkozy n’allait pas se mouiller pour financer à peine 2 meetings.
Le calendrier est également révélateur et démontre une fois de plus que Nicolas Sarkozy est victime d’une inquisition médiatico-politique destinée à lui barrer la route pour 2017 : la même semaine nous avons donc la sortie du livre de Buisson et les nouvelles révélations de Médiapart… J’imagine que d’ici à vendredi on va également nous annoncer que Paul Bismuth est coupable de trafic d’influence et que Carla Bruni est chanteuse ! Franchement, c’est un peu gros, ces pauvres cons de français ne sont pas stupides à ce point.
Dans l’affaire sur des voyages effectués par Nicolas Sarkozy et payés par l'homme d'affaire Stéphane Courbit, ces bâtards de juges ont rendu un non-lieu. Certes, dans le cadre de l’instruction ils avaient demandé la géolocalisation du portable de l'ancien président et épluché ses fadettes. Mais jamais Nicolas Sarkozy n’a été mis en cause directement (mise en examen/témoin assisté) dans cette affaire. Ce n’est donc pas un « non-lieu » mais c’est tout comme. Si l’on pousse les vérifications plus loin, Nicolas Sarkozy n’a bénéficié que de deux non-lieu : un premier dans l’affaire Bettencourt (octobre 2013) et un second dans le dossier des pénalités (septembre 2015).
Mais que ce soit « cinq fois » ou « deux fois », cela ne change rien au fait que Nicolas Sarkozy a toujours été innocenté et c’est bien là l’essentiel. Tout le monde ne peut pas en dire autant… nous pensons particulièrement à Alain Juppé qui lui a toujours été reconnu coupable : une mise en examen, une condamnation.
Nicolas Sarkozy n’a rien à cacher et tient toujours un discours de vérité. On peut comprendre que cela agace les bien-pensants et les menteurs professionnels, mais Nicolas Sarkozy est prêt à tout assumer, à commencer par les prochaines révélations de Patrick Buisson.
En effet, il semblerait que dans « La cause du Peuple », Patrick Buisson a compilé ses enregistrements afin de nous conter « l’histoire interdite de la présidence Sarkozy »… tout un programme ! Il explique notamment que lors des manifestations anti-CPE de 2006, Nicolas Sarkozy (à l’époque ministre de l'Intérieur) avait décidé de nuire à De Villepin en provocant le chaos : « Nous avions pris la décision de laisser les bandes de black et de beurs agresser les jeunes Blancs aux Invalides, tout en informant les photographes de Paris Match. L'émotion fut en effet à son comble, après la publication de photos dont l'opinion ne retiendrait qu'une chose: des hordes sauvages étaient entrées dans Paris ».
En quoi Nicolas Sarkozy serait responsable de ces bandes de black ? Laisser faire et donner des ordres sont deux choses bien distinctes. Oui, Nicolas Sarkozy a laissé faire pour montrer le vrai visage de la mobilisation anti-CPE à tous les bien-pensants qui refusent la réalité. Ce n’était pas pour nuire à Dominique de Villepin avec qui il entretient désormais de très bonnes relations puisque ce dernier, en tant qu’avocat, travaille avec beaucoup d’amis qataris de Nicolas Sarkozy.
Accuser Nicolas Sarkozy est un sport national mais quand il faut apporter des preuves, il n’y a plus personne. On se souvient par exemple du faux grossier de Kadhafi qui a finalement été reconnu comme authentique par la justice… Aujourd’hui, les mêmes menteurs de Mediapart essayent de faire croire à l’existence d’un carnet rédigé par un dignitaire libyen qui évoque, dès 2007, un financement occulte de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy…
Mais quand on se renseigne un peu, on apprend que le carnet appartenait à un certain Choukri Ghanem (ancien ministre du Pétrole de Kadhafi… donc quelqu’un de très fiable…). Or ce dernier ne pourra malheureusement pas innocenter Nicolas Sarkozy puisqu’il s’est accidentellement noyé dans le Danube le 29 avril 2012 (comme par hasard…), soit quelques jours avant la défaite de Nicolas Sarkozy et la perte de son immunité judiciaire. La police a conclu à une mort accidentelle, mais « plusieurs proches de la victime n'hésitent pas à évoquer en privé des soupçons persistants de meurtre » en expliquant que Ghoukri n’avait pas pour habitude de nager dans le Danube et encore moins avec plusieurs parpaings accrochés à ses pieds. Franchement, quelle fable ! D’autant plus que les sommes ne représenteraient 6,5 millions d’euros ! Avec si peu d’argent, Nicolas Sarkozy ne pouvait décemment organiser une campagne présidentielle ! En effet, le montant total de la campagne de 2012 est estimé aux alentours de 50 millions d’euros (en comptant les surfacturations et en réintégrant les dépenses de l’UMP). Vous pensez sincèrement que Nicolas Sarkozy prendrait le risque de se faire financer par Kadhafi pour si peu d’argent ? Quand on sait que le seul meeting de la porte de Versailles en 2007 avait couté près de 3,6 millions, il est évident que Nicolas Sarkozy n’allait pas se mouiller pour financer à peine 2 meetings.
Le calendrier est également révélateur et démontre une fois de plus que Nicolas Sarkozy est victime d’une inquisition médiatico-politique destinée à lui barrer la route pour 2017 : la même semaine nous avons donc la sortie du livre de Buisson et les nouvelles révélations de Médiapart… J’imagine que d’ici à vendredi on va également nous annoncer que Paul Bismuth est coupable de trafic d’influence et que Carla Bruni est chanteuse ! Franchement, c’est un peu gros, ces pauvres cons de français ne sont pas stupides à ce point.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire