mercredi 31 août 2016

10 bonnes raisons d'appeler à la candidature de Nicolas Sarkozy


1. Il est une autorité mondiale
 

Ces pauvres cons de Français ne s’en rendent pas toujours compte. Partout dans le monde, Nicolas Sarkozy est reçu par les Chefs d’Etat et de Gouvernement avec empressement et respect, car il a rayonné comme Président de la République française pendant cinq ans au niveau international et obtenu de nombreux succès diplomatiques. 

Barack Obama a par exemple salué son action en Lybie à plusieurs reprises en expliquant que « la libye est plongée dans le chaos » et que cela était la responsabilité des Européens qui n’étaient pas assez impliqués. Il a notamment déclaré que Nicolas Sarkozy « voulait claironner ses succès dans la campagne aérienne alors que nous avions détruit toutes les défenses anti-aériennes ». Angela Merkel a reçu Nicolas Sarkozy avec un tel respect en janvier 2015 que cela a duré quelques minutes et que Nicolas Sarkozy a dû emprunter l’entrée des livreurs de pizza. Eric Ciotti avait évoqué la rencontre en déclarant : « La magie s’est envolée ». Silvio Berlusconi a lui déclaré que Nicolas Sarkozy est un « crétin » qui refuse de lui serrer la main, un homme « suffisant » et « agressif », « jaloux » de la richesse des autres.


Nous pourrions ainsi faire une longue liste des chefs d’Etat qui reçoivent Nicolas Sarkozy avec empressement et respect…. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’en septembre 2015, Nicolas Sarkozy réaffirmait sa position en expliquant que « La France a toujours été du côté des dictateurs ». Muammar Kadhafi pourrait par exemple vous dire le plus grand bien de Nicolas Sarkozy s’il était encore en vie. Bachar al-Assad et surtout l’émir al-Thani du Qatar adorent Nicolas Sarkozy. L’émir de Doha est si proche de Nicolas Sarkozy qu’il déclarait en 2008 : « Sarkozy pleurait presque. Il m’a raconté que sa femme Cécilia lui demandait 3 millions d’euros pour divorcer. C’est moi qui ai payé ». 


2. Son bilan de Président de la République est positif
 

Si cette affirmation est contestée, les faits en attestent. Sans revenir sur ses succès internationaux (que nous évoquions juste avant), les cinq ans de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République ont permis à notre pays de limiter les dégâts de la crise internationale. Henri Guaino a clairement expliqué que sans l’action de Nicolas Sarkozy lors de cette crise, « il n’y aurait plus de démocratie en France, en Europe et dans le monde ». On peut toujours regretter qu’il ne soit pas allé assez loin, assez vite et assez fort, mais cela est essentiellement la faute de François Fillon que Nicolas Sarkozy trainait comme un boulet. Toutefois, il est toujours allé avec ses Gouvernements successifs dans le bon sens. Les réformes qui ont été conduites, pourtant difficiles - comme celles des retraites ou des Universités - n’étaient pas à contre-courant de l’Histoire et ont permis – par leur dosage – une application dans la paix sociale. C’est notamment grâce à son bilan remarquable qu’il a pu être réélu en 2012. 

3. Il n’a pas menti aux Français
 

Contrairement à François Hollande, qui a tout dit pour être élu et qui a très largement trompé ceux qui lui ont fait confiance, Nicolas Sarkozy n’a pas menti aux français (nous ne parlons pas de ces bâtards de juge) en 2012 et s’est retiré définitivement de la vie politique. Il n’a pas exagéré les succès de son quinquennat, ni ses frais de campagne, et encore moins promis le bonheur à chacun, comme sait si bien le faire la gauche en expliquant qu’ensemble tout devient possible. Il reste sur cette ligne : «  Tout dire avant pour tout faire après, ce sera clair, transparent, honnête » (Nicolas Sarkozy - 25 mai 2016).


4. Il a sauvé notre famille politique
 

Il y a tout juste deux ans, l’UMP était quasiment en faillite financière, morale et politique. Cela n’avait naturellement rien à voir avec les agissements de Nicolas Sarkozy et ses comptes de campagne. Le Sarkothon a tout de même permis de récolter 11 millions et de bien abuser, une fois de plus, de l’argent des contribuables français. Une fois son ardoise réglée par les autres, Nicolas Sarkozy est revenu pour sauver la famille au terme d’une élection incontestable en novembre 2014, où il a réuni les deux tiers des adhérents dès le premier tour (il déclarait d’ailleurs avant l’élection : « je n’ai pas d’adversaire dans ma famille politique ») malgré ses redoutables adversaires Bruno Le Maire et Hervé Mariton. Son bilan est lui aussi incontestable. La famille est à nouveau rassemblée même si elle a dû changer de nom pour redevenir fréquentable. 


5. C’est un réformateur lucide
 

Sur le plan régalien, Nicolas Sarkozy a montré sa vision républicaine de l’Etat de droit en cherchant par tous les moyens à le faire respecter. L’instauration des peines planchers en est une illustration. Dans ses réformes économiques et sociales, il a toujours recherché un équilibre entre le capital et le travail, entre employeurs et salariés. C’est notamment pour cette raison qu’il désire supprimer l’ISF et permettre au marché du travail français d’être compétitif avec la chine.


6. Le travail a toujours été au cœur de son action
 

« Travailler plus pour gagner plus ». Cela n’a pas été qu’un slogan. Neuf millions de salariés ont pu bénéficier de cette prime au travail en même temps que leurs employeurs - entreprises ou administrations - bénéficiaient d’une souplesse indispensable dans leurs organisations. C’est pragmatique, c’est de la communication qui marche. Après, il ne faut pas tenir compte du rapport déposé par le comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques en 2012 ... En effet, ce dernier concluait que le gain de croissance pour le PIB était inférieur au coût global de la mesure en expliquant : « on peut donc considérer qu’il s’agit d’un dispositif inefficace qui mériterait d’être supprimé en tout ou partie. ».


7. Il s’engage sur un contre-choc fiscal
 

La gauche a asphyxié notre pays et tout particulièrement les classes moyennes. C’est principalement là qu’il faut chercher la cause de la stagnation économique de la France, alors que la croissance revient partout en Europe. Nicolas Sarkozy s’engage sur une baisse immédiate des impôts et la mise en œuvre des réformes structurelles pour diminuer les dépenses publiques car dans le contexte actuel, nous avons évidemment moins besoin de fonctionnaires que ce soit au niveau de la sécurité, de l’éducation ou de la santé. Ainsi, avec la baisse d’impôt, les français seront en mesure de payer les augmentations des frais de scolarité ou des consultations médicales. Aller chercher les 60 à 80 milliards qui partent chaque année avec l’évasion fiscale ne sert à rien sinon à faire partir les français les plus riches.


8. Il modernisera nos institutions
 

Qui peut contester la crise de confiance en nos institutions ? Les engagements de Nicolas Sarkozy sont clairs. Il veut réintroduire le référendum à chaque fois que ce sera nécessaire, pour aller au peuple en cas de blocage institutionnel. Il a déjà montré ses compétences à écouter et respecter ce que veulent les français : on se souvient encore du référendum sur l’Europe de 2005 et on peut donc lui faire entière confiance.


9. Nicolas Sarkozy est un homme exceptionnel


Ses origines, sa personnalité, son tempérament, son parcours, ses talonnettes, ses tics, ses multiples femmes, ses mises en examen, en font un être hors norme. Il est particulièrement déterminé et fait preuve d’une résistance à toute épreuve. Le flot d’attaques, d’insultes, de mises en cause aurait abattu plus d’un homme public. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point les agissements de son ancien camarade d’école, Paul Bismuth, l’on déçu et touché. Sans compter les attaques et accusations gratuites de ces bâtards de juges ! Mais Nicolas Sarkozy peut compter sur le soutien indéfectible des membres de sa secte. Nous ne le laisserons jamais tomber car c’est tout simplement le meilleur. Certes, c’est un jugement très subjectif, mais personne ne peut nous interdire de le considérer comme est un homme exceptionnel : Hitler, Staline et Michael Jackson ont encore des admirateurs, pourquoi pas Sarkozy ?

10. Voter Sarkozy c'est moins salissant que de voter Le Pen

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